Le plagiat électronique dans les travaux scolaires: une pratique qui soulève des questions éthiques
1ère édition de la CEST-Jeunesse
1ère édition de la CEST-Jeunesse
Des professeurs de philosophie de cinq cégeps, soit Limoilou, Rimouski, Jean-de-Brébeuf, Saint-Laurent et Lanaudière, ont accompagné leurs étudiants dans une réflexion passionnante.
Le plagiat n'est certes pas nouveau, mais avec l’avènement des technologies de l’information et des communications ainsi que la numérisation d’un grand nombre d’œuvres de toutes provenances, il devient de plus en plus facile d’« emprunter » des mots bien choisis, de belles phrases, de bonnes idées, des images qui parlent et qui plaisent.
Le plagiat électronique se pratique dans le milieu éducatif, mais à quelle échelle et à quelle fréquence? Il n’y a pas de statistiques québécoises sur le sujet pour le moment. Faut-il réglementer, légiférer, sévir, prévenir? Quelles en sont les conséquences en matière d’apprentissage? De formation sociale? D’acquisition de compétences professionnelles? Quelles valeurs sont mises en jeu par une telle pratique? Qu’en est-il de l’honnêteté intellectuelle et de la propriété intellectuelle, de ces valeurs qu’est censée promouvoir l’éducation : la curiosité intellectuelle, l’autonomie, l’esprit critique, le jugement, le goût du dépassement? Ce sont là quelques exemples des questions sur lesquelles se sont penchés les membres de la CEST-Jeunesse 2005.
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